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A l’occasion de la « Journée internationale des Femmes », ce samedi 8 mars, la commission féminine de l’Union départementale CGT souligne que, « dans la Vienne, plus de 27.000 femmes ont moins de 2.600 F par mois (employés d’assurances, de commerce, OP, personnels de services, manœuvres) ; plus de 1.800 ont des emplois non-qualifiés ; on ne compte que trente-cinq femmes ingénieurs pour un département universitaire (5 % des femmes seulement accèdent aux emplois d’encadrement) ; et 7.800 femmes sont à la recherche d’un emploi ».

Et la CGT commente :

« Les conséquences de la crise ne font qu’aggraver les discriminations insupportables dont elles sont l'objet. Le discours officiel patronal et gouvernemental incite les femmes à renoncer au progrès social, à faire taire leurs aspirations.

« Les travailleuses doivent savoir que la CGT ne renonce à aucune des aspirations au progrès, au droit au travail, à leurs légitimes revendications de salaire, de promotion, d’accès à toutes les qualifications et métiers, d’élimination de toutes les discriminations qui les frappent ... ».