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A la suite d’informations parues au mois d’août sur les difficultés apparues dans certains ateliers de la Régie Renault à Boulogne-Billancourt, il a été écrit que la CGT s’est opposée au transfert de machines de Boulogne à Châtellerault-Ingrandes.

M. Jean-Pierre Abelin, député de la Vienne, s’inquiétait auprès de la direction des Fonderies du Poitou pour vérifier le bien-fondé de celles-ci. M. Roux, Président-directeur général des Fonderies, vient de le rassurer : d’une part, ces machines n’étaient pas destinées aux Fonderies ; d’autre part, « aujourd’hui, l’état d’avancement des travaux de construction, les dates prévisionnelles de réception et de montage des machines sont conformes à notre planification. Aucun retard n’est donc prévu au démarrage de l’usine ».

Ces informations sont particulièrement importantes quant on sait que d’ici fin-décembre 1980, de 140 à 150 personnes doivent être embauchées.