CGT

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« Bas salaires, travail au rendement, conditions de travail sans qualification, exploitation des intérimaires... ». C’est tout cela et bien d’autres choses encore que la CGT, si l’on en juge un communiqué qu’elle nous a transmis, aurait aimé soumettre à Mme Pelletier, si une entrevue avec ses délégués avait été admise. Plutôt que de débattre des conditions de travail, le ministre, pense la CGT, est venu surtout avec l’intention de plaider en faveur du travail à temps partiel ; le but étant de culpabiliser les femmes au travail et de les ramener au foyer « pour dégonfler les statistiques du chômage ». La CGT opposée à l’idée du chômage partiel non indemnisé, préconise la semaine de 35 heures, des congés supplémentaires pour enfants à charge, etc.