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L’Union régionale CFDT des PTT dénonce « l’application d’une directive d’avant le 10 mai 1981 du directeur régional, à savoir le remplacement à l’installation des postes à cadran par des postes à clavier, chez les abonnés raccordés sur central électronique ». Après « l’opération publicitaire » du deuxième conjoncteur gratuit « mais que l’administration déclare ne pas pouvoir poser par manque de crédits et de personnel », elle y voit une « méthode de gestion mise en place par les technocrates de la direction générale ».

Le syndicat signale aux usagers que pour eux « l’opération risque de se chiffrer à 60 francs par an de taxe supplémentaire ».

La CFDT considère, « en dehors des considérations économiques et de relations entre les constructeurs et la DGT », que les usagers ne doivent pas faire les frais de cette politique et demande la suppression de la taxe.