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« Des licenciements partiels pour cause économique : cette sentence sera annoncée aux travailleurs de Domine, le mardi 15 septembre à 11 h, par l’administrateur provisoire au cours de la réunion du comité d’entreprise », précisait dès hier dans un communiqué la CGT.

Notons qu’il aura fallu neuf mois pour en arriver là, la section syndicale de l’entreprise dénonce cette « décision arbitraire, rejetée par les salariés qui affirment leur volonté de n’accepter aucun licenciement ».

La CGT réclame l’ouverture d’une négociation tripartite et la prise en compte de « son projet ». Le mot d’ordre des « gars de Domine » sera désormais : « Nous ne lâcherons pas notre poste de travail, nous garderons l’outil et l’usine que nous avons payé par des années de labeur ».