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Alors que « fin juin, après cinq semaines de conflit dans son garage, M. Brillant a signé l’engagement de respecter le droit syndical et de n’exercer aucune représailles sur le personnel ayant participé à la grève », le syndicat CFDT de la métallurgie Sud-Vienne informe que ce n’est pas le cas. Il indique avoir alerté l’inspection du Travail, « qui intervient mollement et en tout cas n’a encore obtenu aucun redressement de la situation ».

Et pose la question : « Qui protège concrètement les ouvriers du despotisme patronal, quand la volonté de discuter des travailleurs, les protestations du syndicat et de l’inspection du Travail restent impuissants ? ».