CGT

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Cosignataire d’un protocole d’accord de contrat de solidarité entre les organisations syndicales et le maire de Neuville, le syndicat Force Ouvrière a tenu à apporter des précisions et notamment :

« Que quatre employés sur cinquante aient jugé opportun de protester est leur droit le plus strict et nul ne conteste leur position. Par contre, nous rappelons que tous les agents ont été largement informés. Force Ouvrière a tenu une assemblée générale le 18 janvier à laquelle était convié l’ensemble des personnels et les quatre contestataires ont pu largement s’exprimer sur les propositions. Toutefois, invité à une autre réunion le 21, leur porte-parole nous a présenté une fin de non-recevoir et a rompu les négociations arguant qu’il n’avait plus rien à apporter dans les discussions ».

Force Ouvrière souligne qu’elle est une organisation libre de toute emprise politique et que le syndicat de Neuville n’avait aucune directive nationale à suivre, qu’en l’occurrence il a agi selon les souhaits des personnels.

« Que certains peuvent être amers, devrait leur rappeler que ce n’est pas quand le feu est dans la maison qu’il faut penser à prendre l’assurance. Pour ce qui est du protocole d’accord, il stipule, bien sûr, qu’une permanence sera assurée le samedi de 9 h à 12 h, comme d’ailleurs dans 80 % des communes de la Vienne ; mais avec récupération d’une demi-journée à prendre au choix ».