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De son côté, la CFDT a diffusé mardi un tract dans lequel elle souligne que les rencontres régulières avec la direction ont permis de discuter concrètement de la reprise de certains salariés licenciés. C’est ainsi que l’embauche de vingt-six personnes a été acceptée, mais pour une durée de six mois seulement, ce que refuse la CFDT. Et de signaler que la réunion prévue hier mardi, et reportée, devait permettre d’examiner la réintégration de douze cas sociaux supplémentaires.

Enfin, la CFDT est intervenue auprès du préfet pour lui demander de réunir le comité local de l’emploi.

Celui-ci pourrait en effet étudier les possibilités d’embauche dans les entreprises de la région, ainsi que la signature de contrat de solidarité.