1261113/12/1984POITIERS
Une nouvelle réunion a eu lieu sur les suppressions d’emplois demandées par AE-France, entre la direction et les syndicats sous l’égide du préfet et de l’inspection du Travail.
La CGT rapporte qu’à ce jour, sur 131 demandes : 2 licenciements sont acceptés ; 19 personnes pourraient être licenciées avec reclassements divers ; 17 pourraient partir en pré-retraite ; 2 en convention ONI (Office national d’immigration). Il resterait 91 licenciements “secs”. L’inspection du Travail a jusqu’au 19 décembre pour prendre sa décision, tandis qu’un contrat de solidarité est toujours à l’étude.
La CGT maintient cette dernière proposition, en indiquant qu’une réduction du temps de travail de 4 heures sans diminution de salaire ne coûterait rien à l’entreprise, grâce à l’aide de l’État. Et lui permettrait de conserver tout son “potentiel humain”...
le 28/02/2024 à 13:45
Source : La Nouvelle République du Centre Ouest
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