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L’Union départementale CGT, « très attentive à la situation économique, sociale et de l’emploi dans la Vienne avait demandé à être reçue le plus rapidement possible sur les questions de la centrale électro-nucléaire de Civaux et l’ouverture du chantier annoncée pour le 1^er octobre 1985.

« Vendredi, une rencontre a eu lieu entre M. Faugoin, coordinateur grand chantier, accompagné de M. Gardes, chef d’aménagement EDF pour Civaux et MM. Jallais, Martin et Dampuré, responsables départementaux de la CGT et du syndicat CGT de l’EDF.

« Nous y avons abordé les problèmes essentiels : l’emploi de la main d’œuvre locale, sa formation, le programme d’accueil, l’hébergement des travailleurs déplacés, le nouveau calendrier des travaux, la reprise des réunions de la commission locale d’information, notre participation à la réalisation du groupe emploi-formation.

« L’UD CGT continuera, comme elle l’a fait depuis le début du projet Civaux, à lutter pour que ce chantier important pour notre département se déroule dans les meilleures conditions économiques et sociales possibles.

« D’ores et déjà la CGT mène en parallèle un travail de réflexion et de propositions sur les conditions de l’après chantier, pour une industrialisation à la hauteur des nécessités dans le sud de la Vienne ».