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Dans un communiqué l’Union départementale CFDT s’exprime de nouveau sur le sujet sensible du nucléaire. Elle rappelle ses demandes :
- une expertise de l’office parlementaire sur les problèmes posés par la fin du cycle des combustibles nucléaires (retraitement, plutonium, sur-générateur, stockage des déchets) ;
- un débat parlementaire sur ce que devrait être une haute autorité du risque industriel.

« Le problème le plus grave aujourd’hui c’est le développement dans le nucléaire d’un nouveau combustible, dit oxyde mixte, qui va être mis dans les centrales nucléaires sans bruit, sans critique externe, sans débat. Un tournant technologique s’opère, aussi important que le lancement de la filière des surgénérateurs, qui n’a probablement pas fini de poser de multiples questions ».