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Quatre-vingt-cinq ouvriers syndiqués chauvinois avec, parmi eux, deux jeunes femmes, ont posé, il y a soixante ans jour pour jour, pour la postérité, devant l’hôtel de ville de Chauvigny. A l’époque, les carrières de pierre connaissaient une forte activité et Chauvigny était une ville ouvrière où la solidarité était la règle. Ils ne sont pas très nombreux les survivants de ce 28 avril 1935.

Parmi eux, M. André Piau, 93 ans, que les Chauvinois connaissent bien.

Nous proposons aux enfants de tous ces Chauvinois , pour la plupart disparus, de bien vouloir nous indiquer, par une flèche, sur la photo du journal qu’ils auront découpée, les prénoms et noms de leur parents, accompagnés de leur numéro de téléphone personnel. Le tout au bureau de « La Nouvelle République », 1, rue du Montauban, 86300 Chauvigny,.

Chaque famille recevra, par la suite, la photo que nous publions aujourd’hui « personnalisée ».

Photo : Les ouvriers syndiqués chauvinois tenant congrès le 28 avril 1935

Les fichiers joints :

Congrès UD CGT 1935
1.1 mo