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Entre 250 et 300 salariés des sociétés du groupe IFI (léna Finances Industrie) se sont rassemblés lundi devant le tribunal de commerce de Thiers (Puy-de-Dôme), qui examinait les offres de reprise de ce groupe qui emploie au total 3.300 personnes.

Le groupe IFI, spécialisé dans le meuble, un secteur où il emploie plus de 2.000 salariés, et dans le décolletage (1.300 salariés), avait déposé son bilan en février dernier.

Le tribunal de commerce devait examiner les offres de repreneurs, comme Cauval et Wallez, un groupe spécialisé dans le meuble, et la Financière de Valois, spécialisé dans la visserie-boulonnerie.

Ces deux offres, qui portent sur l’ensemble des activités du groupe, ne prévoiraient aucun licenciement dans le secteur décolletage.

En revanche, la compagnie de Valois envisagerait une centaine de suppressions d’emplois dans le pôle meuble, et le groupe Cauval et Wallez, 210, ces réductions d'effectif concernant l’entreprise Capelle de Montauban (450 salariés) et l’usine Ranger de Montmorillon (410 salariés).