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Au terme d’un débat tenu à Civray, l’Union locale CGT, l’Union départementale CGT de la Vienne, le syndicat CGT de l’ANDRA se prononcent dans un communiqué commun pour « l’accentuation des recherches sur toutes les voies définies par la loi de 1991 et, plus particulièrement, sur celles susceptibles de fournir des solutions définitives, à savoir sur la séparation-transmutation des éléments radioactifs à vie longue présents dans les déchets et sur les possibilités de stockage réversible et irréversible dans les formations géologiques profondes. La réalisation des trois laboratoires souterrains de recherche envisagés, de façon à bénéficier des plus larges possibilités de choix, le moment venu, sur les solutions à adopter…, la réalisation en particulier du laboratoire souterrain en sud-Vienne, seul site candidat en milieu granitique, pour tenir toute notre place dans les coopérations internationales…

Pour la CGT, la réalisation d’un laboratoire souterrain « n’implique pas celle d’un stockage ».

Ils demandent également « la démocratie réelle, par la transparence, la participation de tous aux débats sur ces sujets qui sont des choix de sociétés et la participation des syndicats en tant que tels à l’ADECC ».