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Pour ou contre l’application d’un accord sur le plan social et de reclassement qui permet d’arriver à zéro licenciement sec ? Posée ainsi, la question appelle, bien évidemment, une réponse positive. C’est ce qu’expliquent les syndicats CGT et CFDT de l’unité Schlumberger de Chasseneuil, qui avaient appelé au boycott du vote.

Dans le contexte actuel, avec le projet de fermeture de l’usine de Poitiers et le transfert d’une partie de ses activités à Chasseneuil, sans oublier la suppression de plus de deux cents emplois, les deux syndicats rappellent qu’ils ne sont pas opposés aux mesures d’âge, ni à la réduction du temps de travail. Ils combattent surtout « une dégradation des conditions de travail et l’abandon d’acquis sociaux » ?

Concernant le référendum organisé sur les deux unités de Poitiers et Chasseneuil, CGT et CFDT de Chasseneuil notent que seulement 441 salariés sur 726 ont voté et seulement 66 sur 226 personnes à Chasseneuil.