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La section de la Vienne de la Fédération générale des Fonctionnaires CFTC

- Dénonce l’immobilisme qui tient lieu de politique et conduit le gouvernement d’une part, à refuser toutes les discussions avec les organisations syndicales, d’autre part, à retarder indéfiniment la mise en place de procédures de dialogues réels.

- Prend acte du mécontentement croissant des travailleurs dont les rémunérations dépendent de l’État.

- Rappelle qu’après le 6 novembre 1963, elle a proposé officiellement aux autres organisations syndicales une action coordonnée intéressant l’ensemble des secteurs public et nationalisé traduisant la grande déception des travailleurs de l’État.

- Tout en approuvant la grève du 18 mars ;

- Rappelle sa position constante favorable à des arrêts de travail généralisés de plus longue durée ;

- Décide, dans un souci d’unité, de tout mettre en œuvre pour faire aboutir les légitimes revendications des travailleurs de l’État sur l’amélioration des conditions de travail et la situation des catégories défavorisées.

Exige :
- La semaine de 5 jours avec des effectifs nécessaires.
- La suppression des abattements de zone.
- La titularisation des auxiliaires.
- Le reclassement des catégories d’exécution.
- La revalorisation des débuts de carrière cadre A.
Et en attendant, l’octroi immédiat d’un acompte mensuel uniforme à valoir sur les mesures à intervenir.
- Demande la refonte de la grille de la Fonction publique aboutissant à une structure moderne des rémunérations et des déroulements de carrières.