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On nous communique :

A la date du 7 mai, de nombreux enseignants des lycées de la Vienne n’ont pas reçu leur traitement d’avril. Les 8 et 9 mai étant des jours fériés, ils ne le percevront donc, au plus tôt, que le 10 mai. La responsabilité des intendants universitaires est hors de cause, puisqu’ils ont envoyé leurs états à la même date que les mois précédents.

Nous ne demandons, certes pas que, comme lors d’une affaire encore fraîche dans la mémoire des Poitevins, une enquête soit ouverte, des sanctions prises et des démission exigées. Nous aimerions simplement que les fonctionnaires de l’Université soient traités comme les autres, c’est-à-dire comme des serviteurs de l’État, et non comme des valets.