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Certaines stations sont fermées et les distributeurs d’essence affichent « vide ». Les stocks sont loin d’être épuisés, mais les événements ont souvent gêné les mouvements d’approvisionnement jusqu’aux points de vente.

Si actuellement les denrées alimentaires ne font pas défaut pour les Poitevins, ceux-ci voient chaque jour avec un peu plus d’inquiétude leur « confort personnel » menacé par la raréfaction de deux produits dont ils font un grand usage : l’essence et le tabac.

Les livraisons ne venant pas, ou à une cadence fort insuffisante, les pompistes distribuent avec parcimonie le précieux carburant dont certaines stations sont même déjà dépourvues.
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Les bureaux de tabac connaissent de semblables difficultés car pour la grande majorité, les rayons des cigarettes brunes sont entièrement dégarnis. (…)