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Quatorze ouvriers de la PBL viennent de recevoir leur préavis de licenciement, ce qui porte à une cinquantaine, le nombre d’ouvriers de cette usine, licenciés depuis septembre dernier.

Deux éléments peuvent peut-être expliquer ces mesures : la situation générale du marché des machines agricoles (la PBL est en effet une usine de fabrication de pièces détachées pour les machines agricoles) et l’établissement de nouvelles modifications de structures dans l’entreprise que dirige désormais un industriel suédois.

Du côté ouvrier, et ceci nous l’avons déjà dit, on regrette que ces mesures aient en premier lieu atteint des élus syndicalistes ou délégués du personnel.

Une crise de l’emploi

50 emplois de moins à la PBL, 30 à la parqueterie, 8 également par suite de la fermeture de la Maison Assier, vins et eaux minérales. Que l’on imagine un peu l’incidence sur ces familles privées de salaires et bien entendu la répercussion sur le commerce local.

C’est un véritable cri d’alarme qu’il convient de lancer, car ce problème de la crise de l’emploi dans la région de Civray, ne saurait être résolu que par les bonnes volontés locales qui, cependant tentent tout ce qui est possible autour du Conseiller général et du syndicat d’aménagement du Civraisien.