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Dans un communiqué conjointement signé par les UL CFDT et CGT en date du 17 mars, il ressort que la grève se continue à Microméca, sans pour autant que la direction prenne en considération les revendications des travailleurs.

« Seule la revalorisation des salaires, précise-t-il, la retraite à 60 ans, la semaine de 40 h. sans réduction de salaire, permettent de porter remède au chômage et de relancer l’économie ».

Les UL CFDT et CGT se déclarent en plein accord avec la lutte en cours qui s’inscrit dans l’action pour l’emploi et le pouvoir d’achat et se félicitent que les travailleurs de Microméca soient pleinement solidaires des 2.000 chômeurs complets et 3.000 chômeurs partiels du Châtelleraudais.

Elles saisissent les Pouvoirs publics de la situation qui règne à l’usine Microméca et leur demandent d’intervenir auprès de la direction générale afin qu’elle ouvre la négociation sur les revendications posées par les travailleurs.